Rapporter ce que j’ai vu et entendu au Salon, sans parler de ce que j’ai vécu, ce serait comme aller au concert et rentrer chez soi sans rien dire.
La composition des salles se trouve dans : Le programme du Salon 2017
Je vais procéder comme je l’ai fait récemment pour le compte-rendu du Festival Son et Image 2017.
Pour commencer, je voudrais rendre hommage à feu M. Philippe David.
Des fois, sans nous consulter, nous avions la même idée au même moment et nos bancs d’essai se croisaient (Voir notre analyse du Music Center d’Elipson). Quelques fois, je le devançais. Alors, on s’échangeait des clins d’oeil.
Nous ne nous étions jamais rencontrés et pourtant, nous avions sympathisé via ma Page Facebook qu’il consultait régulièrement.
Récemment il était intervenu en ma faveur auprès de M. Damien Plisson pour lui demander la date de commercialisation de sa version Windows d’Audirvana Plus, histoire de m’en faire profiter.
C’était un homme ouvert à la discussion mais avec un humour caustique qui l’a quelques fois desservi.
J’avais un profond respect pour le personnage. Il laisse un grand vide.
Philippe aurait été fier de cette édition, tellement la qualité des écoutes fut à la hauteur de la réputation de cette manifestation.
Personnellement, j’ai toujours préféré ce Salon à celui d’octobre. Je le trouve plus qualitatif (que quantitatif). Même si celui qui est organisé par la Spat ne manque pas d’attrait. Loin s’en faut.
Mon déplacement à Paris a donc débuté avec cette magnifique rencontre dans la gare St Charles à Marseille. Un dénommé Fred, était assis au piano et jouait des airs d’Amélie Poulain, puis la chanson Mistral Gagnant de Renaud. J’en ai eu la gorge nouée tellement il y mettait du coeur et de la virtuosité dans sa façon de jouer. La musique rassemble vraiment les hommes. J’ai pris plusieurs photos de lui et son adresse Mail pour les lui envoyer.
Pour en revenir à Philippe DAVID et la façon de conduire les bancs d’essai. Je ne vais pas me comparer à lui, loin s’en faut mais nous nous sommes assez souvent rejoints je dois dire dans nos commentaires. Lui dans son langage technique, moi avec mes propos plus prosaïques.
Un peu à sa manière, je me suis toujours gardé d’être radical ou tranchant dans mes analyses de matériel. J’essaie de prendre de la hauteur et je cherche à savoir pourquoi ça se passe comme ci ou comme ça. Sachant qu’il y a toujours un lien de cause à effet, on parvient généralement à démontrer où se situe le pourquoi du comment.
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas voulu rester sur une mauvaise impression avec les FOCAL et j’ai poussé la porte de la salle F où ELECSON/KLS, représentées par M. Ronan Stenfort présentait les enceintes FOCAL Scala Utopia Evo associées aux électroniques allemandes OCTAVE.
Salle Scène F.
A vrai dire, j’y suis entré un peu à reculons et pour cause.
Au dernier Festival Son et Image qui s’est tenu les 14 et 15 octobre 2017 (mettre le lien) j’avais constaté que la prestation des Scala Evo n’était pas vraiment optimale, comme si la musique avait manqué d’âme. J’en ai été d’autant plus frustré qu’en 2015 j’avais salué la prestation des Sopra 2 alimentées par les électroniques allemandes Octave.
Simple erreur de parcours de la part de ce grand fabricant français ou véritable parti pris ?
De la part d’un spécialiste de la reproduction sonore, qui plus est, équipe les studios d’enregistrement, pour moi, il n’était pas concevable que ça ne soit pas meilleur.
Au Festival, je n’ai pas pu plébisciter Focal pour cela mais je n’ai pas voulu non plus la sanctionner.
Je préfère partir du principe qu’il n’y a pas véritablement (même si ça peut arriver) de mauvais systèmes mais plutôt des systèmes déséquilibrés, en tous cas qui n’ont pas fait l’objet de toute l’attention nécessaire pour les rendre complémentaires.
J’avais pourtant constaté un fort potentiel mais une manque criant d’expressivité.
Ma plus grande surprise a été de trouver un lecteur de CD Wadia.
La connectique était assurée par le fabricant français Viard Audio, présent dans plusieurs salles.
Premier contact, première bonne surprise. Loin des discours marketing, le démonstrateur Ronan nous laisse le soin de juger de l’amélioration apportée par ce nouveau modèle.
Il nous indique que la marque allemande OCTAVE (je la retrouve), possède un schéma propriétaire.
A l’écoute, la matité et le manque d’expressivité constatés au dernier Festival Son et Image ont disparu, comme par enchantement. Pas l’ombre d’une frustration cette fois.
L’énergie phénoménale que développe l’ensemble n’est jamais oppressante et surtout, elle est parfaitement répartie.
L’image déployée dans cette salle était sublime. La présence des interprètes et des instruments, exceptionnelle. Nous avions à la fois le volume et l’expressivité, la musicalité retrouvée.
L’électronique Octave est bel et bien une référence. J’ai cherché quelque banc d’essai sur Internet mais je n’ai trouvé que celui-ci : Test Octave.
Parmi toutes les écoutes que j’ai pu faire durant de Salon, il s’agit, pour moi, d’une des plus réalistes (avec les SUMMIT Acoustic).
C’est la raison pour laquelle, je persiste à penser que le choix qui a été fait au Festival n’était pas pertinent.
Disques écoutés (entre autres). J’ai utilisé Shazam pour :
“Outback” (Original Mix) par Danny Nightingale. https://www.shazam.com/track/58796065/outback-original-mix
“La Chansonnette” par Yves Montand. https://www.shazam.com/track/10225160/la-chansonnette
“Love Me Like A River Does” par Melody Gardot. https://www.shazam.com/track/45857912/love-me-like-a-river-does
Dans cette salle, étaient également présentés les casques Clear et Utopia.
Salle Scène E/G.
Bonne maison, Europe Audio Diffusion présentait dans cette salle les WILSON AUDIO Yvette. Les mêmes enceintes que celles que j’ai appréciées à l’occasion du Salon organisé par HiFi Link à Lyon.
J’allais pouvoir m’assurer si le potentiel que j’avais perçu n’était pas une vue de mon esprit (aurais-je été abusé par ma passion pour Gainsbourg au point de perdre mon impartialité ?) et s’il pouvait être reproductible, dans des conditions différentes.
Je n’emploie pas le terme d’objectivité car une part de subjectivité intervient toujours dans l’appréciation que nous donnons d’une écoute.
Cette fois-ci, ce sont les électroniques Dan D’Agostino qui les accompagnent
et une source Audio Research qui est chargée leur transmettre l’enregistrement.
Un conditionneur de réseau Shunyata Research Denali D6000
et des câbles Viard Audio, comme chez FOCAL.
Très bien, je vais pouvoir juger de la différence par rapport à l’écoute avec les Esoteric, d’autant que dans cette configuration les enceintes ne sont pas accompagnées par des caissons de graves.
Que voulez-vous que je vous dise ? C’est à peu de choses près pareil ! Avec quand même un cran au-dessus des électroniques Esoteric.
Les Yvette, c’est à la fois une énergie folle, sans la moindre résonance de boîte, une restitution des voix parfaitement posée, un flot de nuances incomparable, une dynamique équilibrée, un univers sonore qui vous enveloppe comme pour vous inviter à entrer dans la danse.
Cette énergie conmunicative m’a de nouveau fait tomber sous leur charme. Et je ne suis pas le seul. Leur prestation a été unanimement appréciée dans la salle.
Audirvana Plus était aussi de la partie.
Disques écoutés (entre autres) :
“Stairway To Heaven” par Rodrigo Y Gabriela. https://www.shazam.com/track/43917504/stairway-to-heaven
“I Can See Clearly Now” par Holly Cole. https://www.shazam.com/track/10457494/i-can-see-clearly-now
Composition autour des Magnepan MG3.7i
Audio Research préampli REF6, ampli à tubes VT80, lecteur CD REF CD9, câbles Shunyata Research.
Pour avoir connu la marque il y a bien longtemps et par rapport aux anciennes versions, j’ai trouvé que ces panneaux avaient gagné sur tous les plans.
Moins d’épaisseur dans le grave, une dynamique supérieure et surtout mieux répartie, une précision nettement meilleure, un emplacement moins critique … Le timbre des voix et la “couleur” des instruments sont toujours aussi beaux.
Le MG 3.7i est apparu en 2014, avec un nouveau filtre, par rapport au MG 3.7, qui a remplacé le Magnepan MG3.6, puisqu’il est passé au Quasi Ribbon (plus de grecques sur le mylar).
Le Magneplanar MG 3.7i est le grand frère du 1.7 avec une taille supérieure et un tweeter à ruban. Banc d’essai du MG 1.7 http://www.europe-audio-diffusion.com/uploads/images/Magnepan/Presse/BE_MG%201_7.pdf
Récompenses : 3.7i « Meilleur son » au Axpona de Chicago. https://www.magnepan.com/model_MG_37 et “Best sound” au AXPONA Chicago 2015 http://www.theabsolutesound.com/articles/axpona-chicago-2014-1/
Les Diptyque Audio DP160 auraient eu une place méritée à ce Salon et je les aurais volontiers comparés aux MG 3.7i.
Salle Scène D.
En la personne de M. Martial HERNANDEZ, Audio Focus présentait un ensemble composé d’un amplificateur intégré Bel Canto Black 600 et des dernières productions de chez TAD, les Micro Evolution One, soutenues par un caisson de graves JL Audio.
Les liaisons étaient assurées par la marque Synergistic Research. Le courant traité par un Evidence Epure.
C’est pas compliqué, en véritable chef d’orchestre, M. Martial Hernandez nous a comblés.
Décidément, ce bonhomme est exceptionnel. Tout ce qu’il touche, il le transforme en or. Et quel discours ! Empreint d’une telle humilité que j’en arrive à penser que ce bonhomme est habité. Par la musique c’est évident. Mais pas que. Un très, très grand Monsieur.
Les TAD ME1-K , version réduite des Compact Evolution One, nous ont gratifiées d’un festival de musique.
Quelle bonne idée de les avoir couplées au caisson JL Audio ! Dans cet environnement, elles ont pu s’exprimer sans le moindre manque, avec une profondeur, un relief, une perspective, un niveau de satisfaction qui laissent rêveurs.
Les TAD écrasent véritablement la concurrence. Aucune autre enceinte de cette taille, que j’ai entendues jusqu’à présent, n’atteint ce niveau de musicalité.
L’articulation et l’équilibre, qui représentent mes 2 critères principaux pour commencer à juger de la qualité d’une enceinte, atteignent ici un niveau jamais obtenu dans cette catégorie.
Tout y est. On s’extasie devant autant de musicalité. Nul besoin d’en dire plus.
Disques écoutés (entre autres) : “Shrewd Woman” par Rabih Abou-Khalil & Joachim Kühn & Jarrod Cagwin. https://www.shazam.com/track/60898917/shrewd-woman
Forum A
Chez YAMAHA, nous sommes dans un autre univers. Celui d’un facteur d’instrument. Le même qui fabrique des pianos … Une expérience folle de et dans la musique.
Le monde des musiciens et du jazz.
J’étais très curieux d’entendre cette NS-5000, dans sa robe en laque de piano noir et ses haut-parleurs en Zylon. C’est le démonstrateur qui l’a dit. Encore meilleur que le béryllium, selon ses dires.
J’ai encore en mémoire les fameuses NS-1000. Premières enceintes à haut-parleurs en béryllium pour le grand public et commercialisées en 1974, elles avaient impressionné les professionnels.
Ces NS-5000 annoncent le retour au sommet de Yamaha dans la catégorie des enceintes sans compromis.
Rigueur et et linéarité sont les termes qui leur conviennent le mieux.
Le son est à la fois consistant et léger, avec une assise solide et maîtrisée. Leur “propreté” rappelle les meilleures enceintes monitor, de studio. Le ciselé et la justesse de leur aigu contribuent à rendre la restitution d’une imperturbable linéarité. Même si ce registre est incisif, les timbres ne basculent pas dans la caricature.
C’est franc et droit mais tellement joyeux, même si j’aurais aimé un peu plus d’harmoniques.
Les éléments qui leur étaient associés ne déméritaient pas. L’ampli intégré R-N803D est équipé de la technologie YPAO (Yamaha Parametric room Acoustic Optimiser), qui mesure la forme de la pièce, le matériau des murs et la position des enceintes, puis règle automatiquement le son afin de créer une réponse et une qualité sonores idéales.
Et c’était probant. Le correcteur est réellement efficace. Hors circuit, la musique semblait plus approximative. Elle manquait de relief et de pureté.
Une technologie moderne et d’avant-garde, dans la plus pure tradition de la marque. Excellent !
Disque écouté (entre autres) : “I Will Survive” par Petra Magoni & Ferruccio Spinetti. https://www.shazam.com/track/49186838/i-will-survive
Exposants statiques
EERA
C’est M. Didier De Luca qui est derrière cette marque. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Didier De Luca, dans le monde de la Hi-Fi, c’est The boss !
Celui qui a fait chavirer le coeur des audiophiles marseillais du temps où il avait son magasin l’Instant Musical au Cours Lieutaud.
L’époque des AR Cambridge, Nytech, NAD 3020, Magnepan, Audio Référence, Rega Planar …
Le bonhomme a tellement de bouteille dans le métier que je me demande s’il a fait autre chose dans sa vie que de travailler dans la Haute-Fidélité. Moi, je l’ai toujours connu dans ce secteur.
Bon, allez, je me présente à lui. Il ne se souvient pas de moi, évidemment. C’est tellement loin.
Je m’assois, je mets le casque Kennerton Vali sur ma tête et en avant la musique.
Pas vraiment confortable, de style vintage, ce casque est doté d’une forte personnalité. Son écoute assez typée plaira à ceux qui aiment le son chaud et doux. C’est coloré mais dans le bon sens du terme.
Bon sang, le nombre d’informations que j’entends-là !
Pas étonnant, c’est un lecteur EERA Legato.
Impossible de deviner qu’il s’agit d’une lecture numérique tant la fluidité et l’extinction des notes à l’écoute de la Symphonie n°9 de Bruckner me laissent pantois.
Le legato est une façon de jouer un phrasé musical. Il consiste à lier les notes successives de sorte qu’il n’y ait pas de silence entre elles. Vous savez, en italien ça se traduit par lié. Vous comprenez maintenant pourquoi il s’appelle Legato ?
Didier n’a rien perdu de sa superbe. Son lecteur est une merveilleuse machine à faire chariver nos coeurs sensibles.
Un bon bras et quelques cellules sur le stand, histoire que le Legato ne se sente pas trop seul.
DEVIALET présentait ses fameuses Phantom, dans leur version Gold, quadri-amplifiées, sur des Expert 1000 Pro, en lecture réseau.
Les Phantom Gold demeurent d’excellentes enceintes quand on les utilise dans leur domaine de prédilection, c’est à dire en tant qu’enceintes connectés. Considérées comme telles, elles ont de réelles qualités.
Par contre, pour ressentir de l’émotion, en écoutant de la belle musique, c’est raté. La puissance phénoménale admissible ne fait pas tout. Limitées dans leur registre, elles ne peuvent que donner ce pourquoi elles ont été prévues : le multi-room de haut de gamme.
Et les amplis Expert 1000 ? Fabuleuses machines, capables de piloter tout type d’enceintes, qui plus est, en les optimisant grâce à son procédé Speaker Active Matching, je les ai retrouvées dans le Studio 2.
Studio 2.
J’ai eu l’expérience des JBL, du nom de son créateur James Bullough Lansing puisque dans les années 1980, j’ai possédé une pare de JBL Décade L26 que je faisais fonctionner avec un ampli Harman Kardon A 402, une platine Thorens TD 160 équipée d’une Shure V15 Type IV.
Dans mon métier, j’ai été en contact avec des JBL L200 Studio Monitor. De magnifiques enceintes.
Donc, en entrant dans cette salle, je m’attendais à du lourd. Une grosse paire d’enceintes équipées de haut-parleurs JBL (modifiés), ça ne pourrait qu’envoyer du gros son.
Et ce fut le cas. Attention, pas un son gras qui n’en finit plus de rouler.
UN GRAND SON !
Alimentées par les blocs-mono Devialet Expert 1000 Pro, un conditionneur Gigawatt PC4 Evo pour purifier le courant et un filtre ajustable, ces Summit Acoustic SA400-c sont capables d’une restitution d’un réalisme rare.
La combinaison Devialet/Summit Acoustic est hallucinante. La propreté du message est sans reproche.
C’est à la fois doux, tendu, d’une énergie parfaitement maîtrisée, limpide, aéré, cohérent, avec une scène qui se déploie dans les 3 dimensions, les interprètes et les musiciens sont hyper délimités dans l’espace, exactement placés, sur plusieurs plans …
Un haut rendement, des HP de folie et une conception parfaitement aboutie ne pouvaient que conduire à des reproducteurs d’exception.
Il n’y a pas à dire, la conjugaison de tous ces facteurs en fait des enceintes attachantes qui nous plongent “au coeur de l’événement musical. J’applaudis le fabricant français.
Une véritable révélation !!!
Conclusion
Voilà, je crois que je vais m’arrêter là pour cet exposé. Ce n’est pas que je n’ai plus rien à dire, c’est que je passe beaucoup de temps à commenter, à illustrer et en ce moment, je suis assez pris pas d’autres tâches.
En un jour, je n’ai pas pu tout voir, ni tout entendre et je le regrette. Je pense notamment à JEFFERSON HiFi, DALI, HAMY SOUND.
D’autres stands proposaient de très belles écoutes. DEA International avec les PMC, NAGRA et les APHRODITE’S MELODY, NAUTILE ACOUSTIQUE, DAVIS, LINE MAGNETIC avec les enceintes SUPRAVOX Bahia que j’ai “adorées” et plein d’autres encore.
Ainsi s’achève mon tour d’horizon des Salons nationaux pour cette année 2017.
Avec une très belle prestation de ce personnage qui donnait de la voix en gare de Lyon. Je ne serais pas étonné qu’on le retrouve sur les réseaux, YouTube et tout le reste, vu le nombre de badauds qui l’on pris en photo ou se sont fait des selfies.
J’espère vous avoir donné envie, à vous aussi, de vous rendre à cette manifestation (l’année prochaine ?) ou, pour le moins, de vous avoir intéressés.
On y fait toujours de belles rencontres et on partage volontiers cette passion de la musique qui nous anime.
J’aimerais bien que vous nous donniez aussi vos impressions sur le Salon, si vous y êtes allés. Je publierai vos commentaires.
Maintenant, je vais m’accorder une pause, plus ou moins longue, histoire de souffler un peu, puis de repartir sur de nouvelles bases afin de rendre L’audioexperience encore plus attractif.
J’envisage, probablement, de traiter des dossiers sur un personnage, une oeuvre, une marque, un produit, un chanteur, un groupe …
De temps en temps, je vous ferai partager quelques belles découvertes au gré de mes déplacements, à l’occasion de manifestations organisées ça et là.
A bientôt pour de nouvelles expériences.
Merci de votre fidélité.
Les photos des autres exposants : en vrac.
Je vous laisse le soin de les reconnaître.
Le Salon Haute Fidélité Paris 2017 par le photographe de ON-topaudio, en 81 images.
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5 commentaires
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Merci Jean pour ce très bel article sur ce salon qui ne cesse de m'étonner pour la qualité des écoutes qu'il propose chaque année. Ton article me fait d'autant plus plaisir que tu commentes précisément les écoutes que je n'ai pas pu faire, manque de temps. En effet, j'ai dû partager mon week-end entre Bruxelles et Paris pour pouvoir assister aux deux salons. Merci encore pour ton avis sur Focal/Octave et Wadia (!) ainsi que sur Yamaha que j'aurais voulu écouter. La prochaine fois, si les dates sont identiques, je choisirai l'un ou l'autre, inutile de rester avec des regrets. Pour ma part, j'ai déjà prévu 3 articles sur mon blog que tu connais bien (www.audiodynamics.info) en réservant un article à Martial Hernandez qui nous a encore régalés avec un système absolument fabuleux. Encore merci à toi de nous faire partager ta passion pour la haute fidélité et tes commentaires éclairés ! Eric Mallet
Je te retourne le compliment Éric. J'aime aussi beaucoup ton site.
[…] Le compte-rendu du Salon Haute-Fidélité 2017, c’est dans : Salon Haute-Fidélité 2017, une franche réussite. […]
[…] Mauvaise pioche ? Erreur de parcours ? Lisez la suite sur : http://www.laudioexperience.fr/salon-haute-fidelite-2017-une-franche-reussite/ […]
[…] sont toujours aussi mauvais. Je m’attendais donc à faire de belles écoutes au cours de cette édition 2017 du salon de Haute Fidélité. Disons que l’avantage de ce genre de salon repose sur le fait qu’une majorité […]