Mon compte-rendu à chaud du Salon, après les photos des stands que j’ai publiées dans l’article “Le Salon Haute-Fidélité 2016 en images, les coulisses.” (Cliquez sur le titre).
Pour cette édition 2016, les professionnels s’étaient encore déplacés en nombre pour venir nous présenter leurs produits ou leurs installations.
Pour la majorité d’entre eux, le prix des ensembles était très élevé.
Pourtant, sur le stand de BC Diffusion, j’ai pu dénicher un petit système constitué autour des enceintes DYNAUDIO EMIT 20 dont le prix, tous éléments confondus (pieds et connectique compris) ne dépassait pas les 2.500€.
D’autres exposants, tels que Hi-Fi Câbles, en la personne de M. Jean-Claude TORNIOR et quelques autres, présentaient des ensembles dans une fourchette de prix relativement abordables. Toutes proportions gardées.
La liste des exposants a été annoncée par la revue Haute-Fidélité, à cette adresse : http://www.hautefidelite-hifi.com/index.php/salon
Cette année, je n’ai pas visité les stands Elecson (Octave & Focal), Jadis Electronics et Europe Audio Diffusion, que j’ai commentés dans mon compte-rendu du Salon 2015, ainsi que Hamy Sound et B&W (salle Studio F) faute de temps.
Un point qui a son importance : sauf impossibilité, je me suis efforcé à chaque fois d’être placé dans les premiers rangs, si possible centré, pour m’affranchir le plus possible des « déformations acoustiques» induites par la masse des visiteurs ou les résonnances de la pièce. Bien évidemment, une écoute debout, en fond de salle, était à proscrire.
Mon appréciation est le reflet de l’émotion que j’ai ressentie dans les circonstances particulières de ce Salon et dans les conditions du moment. Elle n’engage que moi et je n’ai pas la prétention de convaincre qui que ce soit.
Mes commentaires ont été écrits au retour du Salon, dans le TGV qui me ramenait de Paris. Les liens qui renvoient aux bancs d’essai ont été ajoutés par la suite de façon à ne pas me laisser influencer.
Plutôt que de vous décrire, stand après stand, ce que j’ai perçu à l’issue de chacune des démonstrations, j’ai préféré vous détailler 3 ensembles, correspondant à 3 gammes de prix, qui résument à eux-seuls les qualités que j’apprécie dans un système Haute-Fidélité.
Si j’avais pu partir avec 3 systèmes, j’aurais emporté dans mes bagages, pardon, dans le véhicule qu’il m’eut fallu louer pour transporter le matériel :
- Système 1. BC ACOUSTIQUE (lecteur de CD EX 602.3, ampli EX 332) + enceintes DYNAUDIO EMIT 20 + pieds DYNAUDIO M20 Stand 3X, pour une écoute dans un environnement domestique.
- Système 2. HEGEL (lecteur de CD Mohican, DAC HD30, ampli H360) + enceintes PE LEON Alycastre + câbles LEGATO, pour une écoute dans une pièce traitée.
- Système 3. Lecteur réseau AURENDER W20 + convertisseur MSB Select II + amplificateur ASR Emitter II Exclusive + enceintes TAD Evolution One + câbles Synergistic Research Galileo, pour une écoute dans une salle dédié à la musique.
J’ai choisi principalement de vous parler de ces 3 systèmes pour la caractéristique qu’ils ont en commun. Elle se résume à une absence totale de caractère numérique à la lecture de fichiers musicaux ou de CD, qui fait immédiatement penser à un vinyle mais en plus précis ou encore à une bande master analogique dans le cas du système 3.
Personne ne peut dire qu’il existe aujourd’hui un seul système qui n’interprète pas un peu la musique. Il n‘empêche qu’à ce niveau de performance, le plaisir est tel qu’on ne se pose plus de questions.
Chacun, dans sa catégorie de prix, constitue pour moi une référence.
Système 1.
Petit par le prix mais grand par le talent, la restitution qui se dégage de cet ensemble foisonne de détails. Alerte, il délivre un son toujours vivant, chantant, lumineux même. Spontané et très communicatif, il nous emmène vers un plaisir jouissif.
Très homogène au niveau de la perspective sonore, les DYNAUDIO délivrent une image qui remplit l’espace. Fins et soyeux sur les cordes, les violons ne sont jamais acides ou projetés. Les cuivres gardent leur rutilance, sans projection. Malgré le volume réduit des enceintes, aucun manque ne se fait sentir au niveau des graves. L’écoute des CD est toute analogique.
Avec des timbres beaux et délicats, une scène sonore qui se déploie en profondeur et une dynamique bien répartie, ce petit système force le respect. Une référence dans sa catégorie. Pour bien débuter dans la Haute-Fidélité.
Fortuitement, je découvre en achetant le hors-série annuel de Diapason que les Dynaudio Emit 20 ont obtenu un Diapason d’Or. Je lis « D’emblée, on ressent une impression de fraîcheur. L’essentiel du message musical est présent, en toute simplicité, sans sophistication inutile, attrait de l’entrée de gamme. L’équilibre spectral révèle une homogénéité quasi souveraine, du grave généreux, sans excès, à l’aigu chatoyant, sans dureté ni brillance. Un style sonore renouvelé ».
En effet, cette homogénéité est évidente à l’écoute et l’ensemble BC Acoustique (amplificateur et lecteur de CD) n’altère pas ce bel équilibre.
Conscient des évolutions technologiques de la haute-fidélité, BC Acoustique a même pensé à des évolutions pour son intégré EX-332D. A l’intérieur, un emplacement est prévu pour recevoir une carte optionnelle, vendue à part. Ainsi, l’entrée ligne peut se commuer en préamplificateur RIAA, par exemple pour exploiter le signal d’une platine phono. On peut également envisager l’insertion d’un DAC, doté d’un port USB. On peut installer soi-même la carte optionnelle, qui prend la place de l’entrée analogique “Line 4”. Cet amplificateur intégré a été prévu pour répondre à quasiment tous les cas de figure, afin d’assurer sa pérennité et permettre de le faire évoluer, au gré de vos envies et des mutations technologiques de la haute-fidélité.
Ce que la presse spécialisée pense des produits BC ACOUSTIQUE : http://www.radioclassique.fr/actu-classique/hi-fi-et-instruments/hi-fi-detail/banc-dessai-les-lecteurs-de-lannee-110.html et https://www.radioclassique.fr/magazine/articles/banc-dessai-six-amplificateurs-autour-de-1-000-e/
Système 2.
Pierre Etienne LEON est un fabricant inspiré qui justifie le principe de charge acoustique de ses enceintes par la réduction des résonances internes. En supprimant le trainage, il éviterait la lourdeur dans le médium et en allégeant le bas du spectre, il améliorerait la transparence de l’enceinte. L’objectif visé par Pierre-Etienne Léon est la neutralité. La musique vivante est le critère qu’il met en avant et le slogan « Rester fidèle à une œuvre est plus important que d’être exact » prend tout son sens.
Immédiatement, j’ai été frappé par le caractère propre de ces enceintes PEL Alycastre.
Spontané et immédiat, l’ensemble n’est jamais démonstratif. Il laisse au contraire s’exprimer les divers enregistrements en les restituant le plus fidèlement possible. Parfaitement maîtrisé et cohérent ; tous les registres passent sans difficulté. C’est complètement homogène.
Je remarque une grande justesse dans la hauteur des timbres, qui sont délicats et s’appuient sur de belles structures harmoniques.
Les interprètes sont facilement localisables et se déploient sur une scène sonore très réaliste. Les inflexions des interprétations nous rapprochent de l’interprète.
Plutôt que de chercher la transparence à tout prix, au risque d’aboutir à une écoute fade et terne, les PE LEON Alycastre proposent une écoute pleine de vie, d’une remarquable musicalité. Les câbles LEGATO n’y étaient certainement pas étrangers où, selon le concepteur, l’accent est mis sur le confort d’écoute, la richesse de l’écriture musicale et de l’interprétation. Il est vrai que la “souplesse”, la fluidité et le suivi mélodique étaient évidents.
L’association avec les électroniques HEGEL est parfaitement complémentaire. Il semblerait qu’ils aient été conçus pour fonctionner ensemble. L’ensemble sonne juste, tout en restant fidèle à l’œuvre. N’était-ce pas le but recherché ?
Voici un système qui chante et qui s’adresse à des mélomanes. C’est suffisamment rare pour ne pas le souligner.
Au sujet des Alycastre, j’ai trouvé un banc d’essai paru dans la revue Haute-Fidélité à cette adresse : http://pe-leon.com/assets/publications/be_hf_pel_alycastre/#4/z.
Le rédacteur conclut « Elles (les Alycastre) regroupent tous les ingrédients pour une restitution qui réduit l’écart entre réalisme et réalité. C’est simple, ce sont désormais les enceintes de notre système de référence. »
Ce que pense Pierre-Yves Maton (ON-topaudio) des enceintes Alycastre : https://www.on-mag.fr/index.php/topaudio/tests-auditions/11731-audition-privee-enceintes-pierre-etienne-leon-alycastre-objectif-atteint
Ce que pense Michel Dallaire (Magazine TED) de l’ampli HEGEL H360 : http://www.hegel.com/images/reviews/H360tedcanada.pdf
Ce que pense Xavier de Grandsaignes (Enceintes et Musiques) de l’ensemble HEGEL lecteur de CD Mohican et DAC HD30 : http://enceintesetmusiques.com/blog/mohican-de-hegel-sil-nen-reste-quun-lecture-cd-ultime-de-marque/
Ce que pense Pierre-Yves Maton (ON-topaudio) des câbles LEGATO : https://www.on-mag.fr/~onmag/index.php/topaudio/tests-auditions/14851-test-cable-secteur-legato-audio-referenza-superiore-music-enjoy-life
Je ne pourrais pas en dire autant du système constitué autour de l’ampli intégré GRYPHON Diablo où, probablement par trop de rigueur de la part du Diablo, la restitution manquait légèrement de chaleur. Même constat sur les autres stands qui utilisaient cette électronique. A mon avis, malgré une présentation solide, la force que déploie cet ampli se fait un peu au détriment de l’expressivité. Un Diablo certainement top niveau mais qui réclame des ajustements très précis.
Système 3.
Décrire ce que j’ai perçu à l’écoute des TAD Evolution One ne saurait valider mon jugement de façon péremptoire. Pourtant, arrivé à ce niveau de performance et au tarif, que je ne connais pas, mais qui doit être à la portée d’une minorité, un tel ensemble ne peut être que le résultat d’une longue, très longue réflexion sur l’aboutissant (le matériel) et d’une vraie recherche sur le respect de l’œuvre, tout en restant exact au contenu (l’enregistrement).
Cet ensemble s’efface devant la musique qu’on lui demande de reproduire. Il s’agit de la juxtaposition d’un lyrisme et d’une expressivité, de fougue et de retenue, de plénitude et d’ampleur qui, en créant une scène sonore réaliste où tous les instruments sont palpables et parfaitement situés dans l’espace, nous font entrer dans l’interprétation, comme pour mieux nous accompagner.
C’est difficile à décrire. Ce que j’ai perçu est éminemment émotionnel. J’atteins les limites de mon langage. Si je poursuis, je risque de sombrer dans une écriture ésotérique qui pourrait m’éloigner de mon objectivité rédactionnelle.
Si je choisissais modestement le langage des critiques de disques, je dirais que la technique sonore de cet ensemble est solide, qu’elle soutient l’entreprise sans la déformer, l’incarne avec respect, l’éclaire et l’enveloppe sans la transgresser.
La musique en sort de la meilleure des façons. La restitution, tout en étant exacte, se révèle d’un grand lyrisme. Pour un ensemble aussi abouti, c’est presque une surprise. Justement, il nous surprend à chaque nouveau morceau.
Il existe des systèmes plus détaillés mais celui-ci réussit un dosage très fin entre la justesse de l’œuvre et l’exactitude de l’enregistrement. Les basses se montrent généreuses, sans être envahissantes, le médium est à la fois clair et expressif et les aigus sonnent sans la moindre agressivité. Pas une once d’acidité. L’ensemble chante merveilleusement bien.
La lisibilité est excellente et il y a de L’air entre les instruments. Le respect des plans arrière y est pour beaucoup dans cette perception de l’acoustique des salles. Et puis, ces silences ! Des silences que l’on aimerait « entendre » plus souvent sur les systèmes de cette envergure.
Les capacités dynamiques sont là et bien là. Elles sont sans limite. Le système surprend et se renouvelle sans cesse.
TAD (Technical Audio Devices Laboratories Inc) est né en 1975 de la volonté de la marque Pioneer Japon d’investir le marché professionnel. TAD est la division américaine de Pioneer. C’est une entité à part entière, totalement séparée du constructeur japonais.
Vous n’êtes pas obligés de me croire mais je n’ai été influencé par aucun avis. Je ne connaissais la marque TAD que par des annonces publicitaires et je n’avais pas lu de banc d’essai sur l’Évolution One jusqu’à ce lundi 28/11/2016 où, par curiosité, je suis allé sur le Web faire quelques recherches.
J’y ai découvert un article, paru dans Audiophile-Magazine, où les TAD Evolution One ont été analysées. Pour consulter l’avis du rédacteur, poursuivez votre lecture à cette adresse : http://www.audiophile-magazine.com/bancs-d-essais/tad-evolution-one/
Dithyrambique, je le suis tout autant que lui car, si j’en avais les moyens, j’installerais volontiers ce système chez moi, dans une salle dédiée à la musique, afin qu’il délivre son immense potentiel.
Le site de l’importateur Audio-Focus, publie l’essai qui est paru dans Haute-Fidélité, où les rédacteurs de la revue ont gratifié l’Evolution One d’enceinte de référence : http://audio-focus.com/TAD/PDF_BE/EV1_HF_2012.pdf
Le site Audiofédération a également commenté la gamme TAD : http://www.audiofederation.fr/?s=tad+evolution+one
Au sujet du modèle Reference One (le modèle le plus évolué), dans son test pour ON-topaudio, Pierre Yves Maton conclut par : « Vous l’avez bien compris, ces TAD Reference One vous emmènent loin, loin dans le monde des réalisations sans compromis, avec le pouvoir de vous transporter au plus profond de la musique. Elles n’opèrent pas une séduction quelconque, n’essayent pas de vous raccrocher ni d’ailleurs de faire croire en des choses qui n’existent pas, non ces enceintes ont une qualité rare dans la Haute Fidélité, mais dans la vie aussi : la justesse.»
Cette qualité rare dont il parle : LA JUSTESSE, c’est bien le critère prépondérant de cet ensemble ultime. Jamais uniforme, toujours nouveau, il s’agit probablement du meilleur ensemble que j’aie écouté jusqu’à présent dans ces circonstances, toutes catégories et prix confondus.
Les mesures effectuées par la revue Stereophile (en anglais) : TAD Evolution One loudspeaker Measurements.
Sur la marque MSB, j’ai trouvé cet essai réalisé par les rédacteurs de la revue Haute-Fidélité : http://www.hautefidelite-hifi.com/index.php/bancs-dessai/21-dacs/273-msb-diamond-et-data-cd-iv
L’amplificateur ASR EMITTER 2 EXCLUSIVE BLUE a été commenté par M. Laurent THORIN : http://www.asraudio.de/presse/T08HF129EM2Ex.pdf
Une autre belle surprise a été la cellule optique DS Audio que j’ai découverte sur le stand de Fusion Acoustic. Malgré la restitution rigoureuse de l’ensemble GRYPHON – ROCKPORT, la lecture optique des vinyles m’a emballé. C’était vraiment beau.
MULIDINE avait pris le parti de nous émouvoir. Ecoute toute en finesse, très mélodieuse. Belle palette de nuances et grande fluidité, de l’assise et une belle dynamique. Le système s’efface devant la musique. Un poil chaud à mon goût.
Chez Hi-Fi Câbles, la restitution était alerte, vivante et de belle facture. Par rapport aux MULIDINE, le son est bien évidemment plus plein, presque aussi chantant mais je l’ai trouvé un peu moins raffiné.
Chez ATTOL – ATOHM : une écoute belle et musicale, articulée, avec une excellente répartition de l’énergie entre le grave, le médium et l’aigu.
Chez DAVIS, toujours de belles écoutes avec les Cézanne et les Cesar. Les Renoir fonctionnaient avec l’intégré GRYPHON Diablo. Un son rigoureux et plein. J’aurais préféré un peu plus de plus de souplesse et de mélodie.
Chez TOTALDAC : une restitution alerte, vivante et de belle facture. Un ensemble qui offre la plénitude des systèmes à haut rendement. En prise directe avec la musique, l’écoute est physique et expressive mais qui m’a semblé manquer un peu de la finesse des meilleurs systèmes.
J’ai retrouvé les enceintes KELINAC 914 MG sur le stand de POINT MUSIQUES. Elles étaient alimentées par des amplis GOLD NOTE, moins musicaux que les KALLYSTE. Ces enceintes ont de l’amplitude, elles donnent du volume aux grandes formations et une présence physique mais réaliste aux interprètes et aux instruments. Très beau médium et beaucoup de délié. Par contre, elles ont besoin d’un minimum d’espace pour pleinement s’exprimer.
Sur le stand NAUTILE Acoustique, belle richesse harmonique, écoute dynamique, pleine de vie.
Chez AUDIONEC, un peu le même style d’écoute que sur le stand NAUTILE.
Chez DEVIALET, restitution très “propre” (trop ?) et très détaillée, dynamique et sans agressivité, meilleure que l’an passé avec cette série Expert Pro et les enceintes VIVID AUDIO GIGA mais, pour ma part, toujours la même impression d’une écoute un peu aseptisée.
En revanche, le couple platine TD (prototype) et cellule délivrait un fort potentiel. Les quelques vinyles écoutés passaient avec beaucoup de réalisme.
Ecoute physique des enceintes connectées Phantom mais encore une fois, un peu trop mate, à mon goût.
Chez DEA, à l’écoute de l’intégré MICROMEGA M-One, je retrouve un peu la prestation sonore entendue chez DEVIALET, c’est à dire “propre” mais avec davantage de brillant avec les enceintes PMC.
Chez TECHNICS, de belles écoutes, notamment avec la platine SL-1200, connectée aux électroniques Classe Premium et Reference, associées aux enceintes SB-C700 et SB-R1.
La téléviseur PANASONIC campait une image de toute beauté.
L’écoute des électroniques Marc LEVINSON ne m’a pas franchement convaincu. Malgré une restitution d’un bon niveau, je m’attendais à mieux.
Quant aux B&W 800D3, associées aux TRINNOV, j’ai trouvé, pour ma part, que l’écoute n’était pas du niveau des TAD Evolution One.
J’ai remarqué que les lecteurs réseau AURENDER S10 et les meubles Centaure se retrouvaient chez plusieurs exposants.
Et que des panneaux acoustiques recouvraient parfois les murs.
Ainsi se termine mon tour d’horizon du Salon Haute-Fidélité 2016.
Comme à chaque fois, j’ai pris le soin de m’attarder dans les différents salons, en restant tout le temps de l’écoute et j’ai une fois de plus pris du plaisir, même si les styles d’écoute étaient différents et si j’ai préféré les 3 systèmes que je vous ai détaillés.
Dans le hors-série Spécial Salon n°222, de janvier-février 2017, les rédacteurs de la revue Haute-Fidélité, nous proposent leur compte-rendu des exposants. Loin de moi l’idée de leur voler la vedette, j’ai retrouvé dans mes notes, les impressions qu’ils nous font partager, à quelques détails près. Preuve que nous avons entendons la même chose. Retrouvez dans ce hors-série leurs avis, pour connaître le niveau de qualité des autres ensembles.
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